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Président de fac, une vie de patron - V. Soulé, Libération, le 27.11.2013, modifié le 10 décembre 2013

mardi 10 décembre 2013

Lire aussi en note le communiqué du SNESUP-Nanterre


Jean-François Balaudé, élu en 2012 à la tête de Paris-X, dirige l’une des plus grosses universités de France, désormais autonomes. « Libération » a suivi l’ex-prof passé de la philo au management.

Il est 19 h 15. Jean-François Balaudé achève sa cinquième réunion de la journée. Il attaque maintenant la pile de courriers qui attend sa signature tout en faisant un ultime point avec son directeur de cabinet. « C’est l’heure à laquelle je commence à me poser et à réfléchir », confie avec un fond d’accent bitérois le président de l’université Paris Ouest Nanterre La Défense... [!]

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Communiqué snesup nanterre. 8 decembre 2013

Dans un article publié le vendredi 27 novembre 2013 dans Libération « Président, une vie de patron », la personne et la politique de l’actuel président de l’université Paris-Ouest Nanterre, Jean-François Balaudé, sont l’objet d’une présentation qui relève plus de la propagande que de l’information sérieuse.

Au service de son panégyrique digne d’un service de communication zélé, Libération cite de manière sélective et hors contexte les propos du secrétaire de la section SNESUP de Nanterre, ignore l’ensemble des éléments de critique et d’opposition indiqués par celui-ci, laissant ainsi croire que le SNESUP soutient aveuglement l’équipe actuellement en place.

La section SNESUP s’élève contre ce procédé et rappelle son opposition à la loi LRU et à la loi ESR. Contre les politiques d’austérité et pour la défense des collègues confrontés aux politiques universitaires néfastes des gouvernements actuels et passés, la section défend sans relâche la possibilité d’autres choix et d’autres orientations au niveau national comme au niveau local.

En application de leurs mandats, les élus SNESUP au conseil d’administration et au conseil académique de l’université Paris-Ouest se sont prononcés, entre autres, contre les projets de budget qui sont la traduction locale des politiques nationales d’austérité et contre le projet de fondation partenariale qui est la première étape d’une prise de contrôle du secteur public de l’enseignement supérieur et de la recherche par des intérêts privés.