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Revue de presse du concours "Labex" (MàJ 2 avril 2011)

vendredi 1er avril 2011, par Laurence, Martin Rossignole

Laboratoires d’excellence : le président du jury s’explique sur ses choix
Blog Le Monde, Ph. Jacqué, 31 mars 2011

C’est de loin l’appel d’offre des investissements d’avenir qui a le plus suscité de critiques dans son déroulement. La procédure de désignation des cent laboratoires d’excellence (labex, doté de 1 milliard d’euros de capital) a été particulièrement longue et chaotique. Si l’on a beaucoup écrit sur les coulisses, la lettre remise par le président du jury international labex, Manuel Velarde, de l’université Complutense de Madrid, confirme un grand nombre de supputations des observateurs universitaires.

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Midi Libre, édition du 26 mars 2011.
Labos d’excellence : Bourquin est comblé

Le président de la Région, Christian Bourquin, s’est dit comblé par l’intégration de sept laboratoires du Languedoc-Roussillon dans le plan national LaBex destiné à relancer la recherche et favoriser la compétitivité française (voir Midi Libre d’hier). « Avec sept projets retenus sur neuf candidatures, nous avons le meilleur taux de réussite de France. Cela prouve le niveau qualitatif de nos universités et de nos chercheurs, que je tiens à saluer », exprime le président.

Bourquin estime aussi que « le Languedoc-Roussillon s’est rendu crédible car nous avons joué groupé, politiques, universités, recteur, préfet ». Et ajoute une belle pointe d’humour : « J’ose dire que nous avons mis un sérieux coup de rein... »

En tout cas, Christian Bourquin n’avait pas hésité à « renverser la table », dans le dossier collatéral de l’Idex, qui consiste à créer des pôles universitaires de niveau mondial. Le 22 décembre, à deux semaines de la date butoir fixée par Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le président avait menacé de cesser l’implication de la Région (un tiers du financement) si les universités ne se mettaient pas d’accord sur un principe de gouvernance unique.

Cet électrochoc, ajouté à une action de lobbying auprès de Valérie Pécresse et du commissaire au Grand emprunt avait été payant. Sur cette question de l’Idex, « la mobilisation continue : une réunion d’étape est prévue le 26 avril, avec tous les intervenants ».

Pour conforter le projet montpelliérain et régional, Christian Bourquin vient d’écrire au président Nicolas Sarkozy, via Jean Castex, secrétaire général adjoint de l’Élysée et élu UMP au conseil régional. « Je lui rappelle que Montpellier est la ville française qui a le plus fort PIB généré par la recherche publique et confirme la participation de notre région au projet Idex. » On n’est pas loin d’une union sacrée !
PATRICK NAPPEZ

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Gaïa Universitas. Labex : des projets vides de contenu

On connaît donc à présent les résultats du grand concours des Labex. 100 projets ont été retenus et ont reçu le label d’excellence. Certes on ne peut pas tous être excellents mais la pilule est lourde à digérer pour les [gros nuls] non-excellents. Prochainement les porteurs des projets vont recevoir leur relevé de notes avec des commentaires sur leurs projets. En attendant, le Prof Manuel Velarde, président du jury Labex, donne un avis général de la classe : « certains textes de projets étaient trop longs, l’essentiel était noyé dans une foule de détails sans intérêt pour l’évaluation de la qualité scientifique par les rapporteurs ou les experts externes. D’autres ne présentaient pas de véritable programme de recherche. D’autres enfin, vides de contenu, faisaient cependant preuve d’une grande arrogance »  [1]. Ces jugements me paraissent sévères, j’ai du mal à croire que des laboratoires ont pu fournir des dossiers « vides de contenu ». Quand à l’arrogance, c’est certainement une question d’appréciation mais il faut reconnaître que tout était fait pour l’exacerber dans l’appel à projet.

Le jury a classé les projets en trois paquets, donc avec trois notes (A, B et C). Sur 241 projets, 83 ont reçu la note A. Ceux là sont les gagnants. Ensuite il a des projets qui sont classés B « en raison de défauts sérieux de fond et/ou de forme (par ex manque de projet cohérent de recherche avec la synergie requise) ». Si j’ai bien compris, le gouvernement a rattrapé 17 de ces projets pour leur donner le label, sur proposition du président du jury, portant le nombre total à 100. Enfin des projets sont classés C, ceux là vont percevoir leur échec comme une humiliation …

Le lecteur pourra également lire (ou relire) mes billets sur cette opération grand emprunt : Equipex (hélas pas retenu !), Labex (allez oust les gros nuls !), Idex (le plan social de la science ? témoin de petits meurtres entre collèges, le grand salon de l’idex), Emulex, Pilotex … bref la collection presque complète ! …un grand emprunt diabolique … (voir ici)
Rachel, 26 mars 2011

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JFM’s blog. Labex : l’année du lapin

en images ici

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Educpros. Grand emprunt : 100 lauréats pour les Labex

Cela se murmurait, c’est désormais officiel : la liste des 100 projets gagnants de l’appel à projets des Labex (laboratoires d’excellence) a été dévoilée, vendredi 25 mars 2011. Avec les félicitations de Valérie Pécresse et de François Fillon, qui a prononcé un discours à l’hôtel Matignon, devant un auditoire de lauréats. "Tous les secteurs innovants de notre économie vont être irrigués par ce programme", s’est réjoui le Premier ministre à propos des Investissements d’avenir. Revue de détail des heureux élus de cette "brique" clé du Grand emprunt.

100 laboratoires ont obtenu le label d’excellence à l’issue de la procédure de sélection par un jury international : soit 83 notés A et A+, ainsi que 17 – "repêchés" disent certains – classés B (voir la liste des 100 labex).

"La partie n’est perdue pour personne"

Première précision d’importance : il y aura une autre vague de sélection, comme pour tous les projets "en -ex", a indiqué René Ricol, commissaire général à l’investissement. Les candidats passeront alors devant un nouveau jury.

"La partie n’est donc perdue pour personne", a-t-il judicieusement souligné. "Depuis l’an dernier, plus de 1.200 projets nous ont été soumis. C’est plus que ce que nous pouvions attendre. Que ces projets soient ou non sélectionnés, le processus a des effets bénéfiques pour tous ceux qui s’y sont engagés", a également insisté le Premier ministre.

Au total, 241 projets avaient été déposés, soit beaucoup de perdants pour ce premier tour. A noter d’ailleurs quelques surprises : telle la prestigieuse école d’économie de Toulouse, qui a vu son projet écarté. "Incompréhensible", pour Bruno Sire, président de l’université Toulouse 1.


L’Île-de-France et la région Rhône-Alpes en tête

Côté gagnants, les sciences humaines et sociales comptent 25 % des projets retenus. Le secteur biologie-santé représente 23 % des dossiers, l’environnement - sciences de l’univers 17 %, les sciences du numérique 15 %, l’énergie 10 % et les nanotechnologies 9 %. Le montant remporté par chacun des vainqueurs sera précisé dans les semaines à venir, pour cet appel à projets doté au total d’1 milliard d’euros.

Pour lire la fin

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Le Monde. Grand emprunt : 100 projets de laboratoires d’excellence retenus

Ils se sont fait attendre plusieurs semaines, mais le premier ministre a fini par présenter, ce vendredi 25 mars, la liste des lauréats des “laboratoires d’excellence”, dit “labex” (vous pouvez charger le pdf de la liste ici ). Doté d’un milliard d’euros, cet appel d’offre a beaucoup fait parlé dans le landerneau scientifique (voir les récits d’Henri Audier ou des Echos ).

En effet, alors qu’une cinquantaine de projets devaient être retenus et financés, cette liste a été rallongée pour intégrer des projets portés par des laboratoires de grands noms de la recherche française non retenus dans un premier temps par le jury international, comme Jean Tirole, porteur du projet d’institut d’études avancées de Toulouse, Mathias Fink, du projet de l’Institut Langevin (ondes et images, du fondamental à l’innovation) ou encore Cédric Villani, l’un des porteurs du réseau de mathématique Carmin.

En revanche, alors que certains étaient convaincus d’être retenus, comme l’Ecole d’économie de Toulouse, la désillusion est très forte, puisque cette structure n’a finalement pas été sélectionnée (voir entretien ci-dessous).

26 labex de sciences humaines

Concernant les cent labex lauréats, les sciences humaines n’ont pas été laminées, comme le prédisaient beaucoup de chercheurs et responsables universitaires. Ce domaine recueille 26 labex, comme par exemple, le laboratoire d’art à Paris VIII (voir entretien ci-dessous), musique à Strasbourg, lettres et sciences humaines à Aix-Marseille ou l’ENS Ulm, urbanisme à Paris-Est, l’usage du monde par les sociétés anciennes à Bordeaux, etc. Viennent ensuite les domaines biologie-santé (23 labex), les sciences de l’environnement et de l’univers (17), les sciences numériques (15), l’énergie (10) et les nanotechnologies (9).

En revanche, la répartition spatiale des implantations de labex est très instructive pour la suite des appels d’offre du grand emprunt. Leur très grande majorité se concentre dans la fameuse “banane bleue” de la recherche française. Une zone qui réunit l’Ile-de-France, l’Alsace, la région Rhône-Alpes et qui descend jusqu’à Montpellier.

Des indications pour les idex

Ainsi, les grands “gagnants” sont les pôles de recherche et d’enseignement supérieur parisiens. Les regroupements Sorbonne Universités (Paris-II, IV, VI) et Paris Sciences et Lettres (ENS, Dauphine, etc.) raflent chacun une dizaine de labex. Paris Cité (Paris-III, V, VII, XIII, etc.) en obtient 8, et participent à 7 autres. Hésam (Paris-I, Arts et Métiers, etc.) en obtient également 6. Saclay décroche 6 labex. Paris-Est est présent dans 4 labex. En région, Grenoble et Lyon ont chacun 8 labex, tandis que Montpellier en décompte 7, Strasbourg 6 et Bordeaux 5. Parmi les moins bien servis figurent Aix-Marseille et Toulouse (3 labex chacun), Bretagne (2), Lille et Lorraine (1). Par ailleurs, des universités plus modestes ont obtenu le label : Amiens ou Limoges, par exemple.

Sur cette base, dans la perspective de la sélection pour le second tour des initiatives d’excellence (Idex, 7,7 milliards d’euros), plusieurs sites universitaires se détachent. Sur les 17 projets d’Idex déposés, Paris Sciences et Lettres et Paris Sorbonne semblent les projets les plus sûrs de passer le barrage du premier tour en Ile-de-France. Saclay restant en ballotage. Plusieurs sources confirment cette possibilité, mais aucun responsable universitaire ne veut ou ne peut le confirmer. En région, les quatre universités les plus en vues sont Lyon, Grenoble, Montpellier et Strasbourg. De même, les universités refusent de confirmer ou infirmer cette possibilité. Le gouvernement promet l’officialisation des Idex sélectionnés au second tour en début de semaine prochaine.

Philippe Jacqué

Actualisation : pour l’initiative d’excellence, la dernière rumeur voudrait que Paris Sciences et Lettres, Paris Sorbonne, Bordeaux, Lyon, Grenoble, Strasbourg et Toulouse passent au second tour. Reste que tout peut encore bouger jusqu’à la présentation officielle. Ph. J.

- “L’excellence n’est pas qu’au centre de Paris, mais également en banlieue

Entretien avec Pascal Binczak, président de l’université Paris-VIII, dont le projet arts et médiations humaines a reçu le label “labex”

Quel est votre sentiment après l’annonce des résultats labex ?

Pour Paris-VIII, c’est une reconnaissance très importante pour notre travail. Nous allons saisir cette opportunité pour fédérer nos équipes de recherche. Ce projet va tirer vers le haut l’ensemble de la communauté. Notre ambition est la mise en place d’un centre universitaire des arts dans le Nord de Paris.


Qu’est-ce qu’un “laboratoire arts et médiations humaines” ?

C’est un lieu, déjà présent à Londres par exemple et dans de nombreuses capitales européennes. Il s’agit de construire un lieu d’interface entre la recherche académique, la pratique et la valorisation de la recherche. Il sera lié au “cluster de la création” en cours de développement à Paris. En bref, il s’agira de faire se rencontrer les chercheurs, tant en arts qu’en lettres ou en psychologies, et des artistes. De même, des ateliers thématiques d’échange seront créés.


Absent de tout regroupement parisien, Paris-VIII réussit toute seule ?

Effectivement, nous devons notre réussite à nos partenariats internationaux et à nos chercheurs. De même, et j’aimerai insister sur cela. Nous démontrons que l’excellence n’est pas qu’au centre de Paris, mais également en banlieue.

Propos recueillis par Ph. J.

- "L’école d’économie de Toulouse se battra sans l’argent du grand emprunt"

Entretien avec Christian Gollier, dont l’Ecole d’économie de Toulouse a été recalée aux appels d’offre labex.

Comment expliquez-vous cet échec ? Etes-vous parti la fleur au fusil ?

Je vous avoue que je ne sais pas. Toutes les personnes qui ont lu notre dossier scientifique l’ont trouvé bon… Nous avions monté un vrai projet. Nous ne jouons pas seulement sur notre réputation.

Qu’allez-vous faire désormais ?

L’école se battra sans l’argent du grand emprunt pour améliorer son attractivité internationale. On l’a fait pendant 25 ans avant le réseau thématique de recherche avancé, on connaît la musique ! Cette année, nous allons recruter quatre jeunes économistes très prometteurs qui finissent leur doctorat à Yale et Stanford… Pour l’argent, nous comptions évidemment sur le grand emprunt, mais nous allons sans doute relancer une campagne de levée de fonds.

Avez-vous de l’amertume ?

Je vais prendre le temps d’analyser les commentaires du jury relatifs à notre projet de labex avant de prendre mes responsabilités le cas échéant. J’ai décliné ces dernières années plusieurs offres d’excellentes universités américaines…

Propos recueillis par Ph. J.

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Les Echos : Grand emprunt : cent « laboratoires d’excellence » se partagent un milliard d’euros

La quasi-totalité des lauréats seraient des laboratoires présentés par les dix-sept candidats aux « initiatives d’excellence » (« Idex »), ces futurs campus à vocation mondiale.

Enfin. Dans la « course à l’excellence » lancée par le grand emprunt, les résultats de l’appel à projets « Laboratoires d’excellence » étaient particulièrement attendus et surveillés dans le monde de la recherche.

François Fillon dévoile officiellement demain matin la liste des 100 lauréats à Matignon, en présence de René Ricol, le commissaire général à l’investissement, et de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Valérie Pécresse. Avant cette annonce, le Premier ministre doit visiter à Paris l’Institut de la Vision, qui abrite l’un d’entre eux, baptisé « Lifesenses » et spécialisé dans la recherche sur les déficits visuels et auditifs. Il est porté par la Fondation Voir et Entendre et le professeur José-Alain Sahel (Hôpital des Quinze-Vingts, INSERM, UPMC). Destiné à renforcer les meilleurs laboratoires français et leur attractivité à l’international, cet appel à projets « Labex » est doté d’un capital d’1 milliard d’euros, dont les lauréats se partageront les intérêts. Les financements seront attribués sur dix ans.

Parmi les 239 dossiers de candidatures, 63 présentaient des projets en sciences humaines et sociales, 88 en sciences physiques et de l’ingénieur, 75 en sciences de la vie et environnement et 13 sont interdisciplinaires. Près de 40 % d’entre eux sont situés en Ile-de-France. La quasi-totalité des lauréats seraient des laboratoires présentés par les dix-sept candidats aux « initiatives d’excellence » (« Idex »), ces futurs campus à vocation mondiale. Parmi eux : le pôle de recherche et d’enseignement supérieur PSL Quartier Latin (ENS, Collège de France, Chimie ParisTech etc..., associés à Dauphine pour leur Idex), le PRES Hésam (Cnam, EHESS, Arts et Métiers ParisTech, Ena, Paris 1, ESCP Europe, etc...), le PRES Sorbonne Paris Cité (Paris 3, Paris 5, Paris 7, Paris 13, Sciences-Po, etc...) et le PRES Sorbonne Universités (Paris 2, Paris 4, Paris 6), qui comprend le Labex Lifesenses. « Lifesenses » concourait également dans l’appel à projets sur les intituts hospitalo-universitaires (IHU). Mais, déjà lauréat d’un « labex », il pourrait ne pas figurer parmi les six lauréats des IHU.

La prochaine étape pour le volet enseignement supérieur et recherche du grand emprunt aura lieu la semaine prochaine, avec la pré-sélection des « initiatives d’excellence ». Un dossier à 7,7 milliards d’euros.

ISABELLE FICEK

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Le Télégramme, 25 mars 2011


Sciences de la mer. Brest devient un laboratoire d’excellence lire ici

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L’alsace, 26 mars 2011


Des millions pour « l’excellence » strasbourgeoise
100 projets de « laboratoires d’excellence » — sur 241 déposés – vont bénéficier des « investissements d’avenir ». Le Premier ministre François Fillon a annoncé hier, aux présidents d’université réunis à l’hôtel Matignon, qu’ils seront dotés de 1 milliard d’euros au titre du grand emprunt.

En fait, ce montant se divise en 100 M€ (millions d’euros) de dotations immédiatement utilisables et de 900 M€ de dotation produisant des intérêts. « Soit en rythme annuel seulement l’équivalent de 50 M€ », a souligné le Parti socialiste dans un communiqué…

La répartition des financements accordés et attribués pour dix ans aux lauréats, sera communiquée dans les semaines à venir, selon le gouvernement.

Bien que plusieurs de ses projets n’aient pas été retenus, Alain Beretz, président de l’Université de Strasbourg, s’est dit satisfait du résultat. Et notamment de la reconnaissance, aux côtés de cinq « labos » consacrés à la chimie ou à la biologie, d’un projet relevant des sciences humaines et sociales (SHS) : le Gream (Groupe de recherches expérimentales sur l’acte musical, lire ci-contre).

« Après les équipements dotés par le grand emprunt ( L’Alsace du 21 janvier dernier), poursuit Alain Beretz, les laboratoires d’excellence sont une nouvelle brique dans la construction de l’initiative d’excellence », ultime appel à projet des « investissements d’avenir » auquel l’université alsacienne est candidate.

Gream (Groupe de recherches expérimentales sur l’acte musical) : projet de recherche, à la jonction de l’art et de la science, sur la création et la performance musicale à travers les siècles.

CSC (centre de chimie de systèmes complexes) : ce projet en nanotechnologies vise à inventer de nouvelles générations de composants (capteurs, dispositifs de transport d’information).

HepSys : projet d’étude de l’infection chronique par le virus de l’hépatite C, il s’intéressera tant aux recherches vaccinales qu’aux complications des greffes et aux traitements innovants.

INRT : projet de l’IGBM (Illkirch-Graffenstaden) visant le développement de nouveaux domaines de recherche en dynamique nucléaire, médecine régénérative et biologie intégrative.

Medalis : centre de recherche du médicament dans le domaine du cancer et de l’inflammation.

NetRNA : étude des mécanismes de régulation de l’expression des gènes par l’ARN (acide ribonucléique, molécule qui se trouve dans pratiquement tous les organismes vivants).

iPOPs (individus, populations, sociétés) : recherches sur les dynamiques familiales et le vieillissement, les inégalités sociales, de genre et de génération (en réseau avec les villes de Paris et Pessac).

VRI : Institut de recherche vaccinale, dédié au dévelop-pement de vaccins efficaces contre le sida et l’hépatite C (en réseau avec des universités d’Ile-de-France et de Bordeaux).

Simon Barthélémy


[1lire le document pdf joint