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Hors les murs des universités
mercredi 12 décembre 2007, par
Nous pouvons, vous pouvez :
entraver le fonctionnement du Ministère en l’inondant de fax qui vident les cartouches d’encre ou de mails qui bouchent les tuyaux (particulièrement commmode en période de vacances !). Quelques adresses :
habilitation.des@education.gouv.fr (Portail e-DGES v2 - Demande d’information habilitation diplômes)
contrat.e-des@education.gouv.fr (Portail e-DGES v2 - Demande d’information contrats quadriennaux)
mireille.lemaguet@education.gouv.fr (Portail e-DGES demande d’information sur la recherche)
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Direction de la Technologie
Fax : 01 55 55 86 41. Courriel : christian.orfila@recherche.gouv.fr
Autre fax : 01 55 55 87 18
DGES bureau du financement de la qualité.
Fax : 01 44 32 92 08
AERES
Fax : 01 55 55 63 94,
01 55 55 64 38,
01 55 55 60 93,
01 55 55 64 27,
01 55 55 67 29.
signer automatiquement nos mails par une formule du type « enseignant-chercheur en colère / contre la loi LRU » (voire ! "Enseignant-chercheur en colère contre la LRU : les présidents d’université ne parlent pas en notre nom ! Pour une université collégiale et indépendante des pouvoirs, agissons : http://www.sauvonsluniversite.fr/ et http://sauvonslarecherche.fr/).
écrire aux élus locaux pour leur expliquer les aspects de la LRU dont ils n’ont pas conscience et éventuellement leur demander rendez-vous.
faire des happenings dans le métro (avec bruit et banderole).
solliciter les chercheurs et universitaires qui parlent dans les médias pour qu’ils s’expriment contre la LRU ; diffuser ce mot d’ordre par nos réseaux.
organiser des cours sur la place publique (avec écharpes ou brassards idoines) pour donner une autre version des blocages des facs. (en période d’achats de Noël, pratiquer les centres commerciaux).
écrire aux élus locaux pour leur expliquer les aspects de la LRU dont ils n’ont pas conscience et éventuellement leur demander rendez-vous (expérimenté avec succès à Caen)
organiser des happenings dans les métros (avec bruit et banderoles).
et pour tous les abonnés du journal Le Monde, envoyer d’une lettre de protestation motivée par la non-couverture de l’inquiétude de la communauté universitaire dans les colonnes du quotidien.