Accueil > Veille masterisation/ concours > Dossier "Emplois d’avenir professeur" août-septembre 2012

Dossier "Emplois d’avenir professeur" août-septembre 2012

dimanche 23 septembre 2012, par Mariannick

Et réactions syndicales (SUD éduc, CGT, FSU…)

Memento de SLU à lire ici


L’Assemblée Nationale a voté les emplois d’avenir professeur.

Projet de loi portant création des emplois d’avenir, adopté en 1ère lecture par l’Assemblée nationale le 12 septembre 2012 , TA n° 15

PDF - 69.8 ko
extrait


C’est au Sénat en 1ère lecture
(Dossier en ligne sur le site du Sénat)

Retour en discussion en séance publique à l’AN au cours des séances des lundi 24 et mardi 25 septembre 2012


Le projet de loi… :

PDF - 78.2 ko

…est passé à l’Assemblée Nationale en procédure accélérée.

Il a reçu un avis favorable de la commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée.
Quatre amendements portant sur la durée du temps de travail, l’adossement des emplois d’avenir professeur à la formation, l’élargissement des critères d’accès au dispositif ont été déposés et adoptés par des députées du groupe GDR et des députés socialistes.
Un amendement adopté sur proposition des députées communistes Marie-George Buffet (Seine-Saint-Denis) et Jacqueline Fraysse (Hauts-de-Seine) concerne le temps de travail des bénéficiaires. « Le bénéficiaire d’un emploi
d’avenir professeur effectue une durée hebdomadaire de travail adaptée
inférieure à la moitié de la durée légale du temps de travail [1] », est-il désormais précisé.

Les grandes lignes du fonctionnement du dispositif [2]

Les emplois d’avenir professeur sont ouverts aux étudiants boursiers en deuxième année de licence et se déroulent sur une durée de trois ans.

Les étudiants souhaitant bénéficier de ce dispositif doivent s’engager, dans le cadre d’un contrat avec l’établissement scolaire et avec l’établissement d’enseignement supérieur au sein duquel ils effectuent leurs études, à présenter les concours de recrutement d’enseignants de l’éducation nationale au terme de ces trois ans.

Ils seront en contrepartie accompagnés financièrement grâce à la création, à partir de 2013, de nouvelles bourses de service public. Le montant de cette bourse viendra s’ajouter à la rémunération liée aux heures de mission effectuées au service de l’éducation nationale et aux bourses sur critères sociaux pour garantir un revenu moyen total de l’ordre de 900 euros par mois. [3]

Les missions confiées aux étudiants retenus dans le dispositif ont vocation à évoluer dans le sens d’une responsabilisation accrue au fur et à mesure qu’ils acquerront compétences et expérience. Il pourra s’agir dans un premier temps de tâches péri-éducatives puis, progressivement, d’activités de plus en plus proches de celles que les enseignants sont amenés à mettre en œuvre pour déployer leur action pédagogique dans la classe. Ils seront, tout au long de ce parcours, encadrés et conseillés par un tuteur.


L’annonce de l’été : Emploi d’Avenir Professeur (cherchez l’intrus)

Le Mammouth déchaîné, 2 septembre 2012

Quel beau métier professeur (d’avenir) !

Voilà donc la trouvaille de l’été, un truc pour calmer les plus participatifs des syndicats. Le 10 août le ministre a convoqué dans l’urgence une séance exceptionnelle du Conseil Supérieur de l’Éducation pour le 24 août 2012, spécialement consacrée aux « Emplois d’Avenir Professeur », un dispositif que le gouvernement présente comme un pré-recrutement d’étudiants voulant devenir enseignant.

Présenté, avec le « contrat de génération » comme un des deux actes de la politique du gouvernement en faveur de l’emploi des jeunes, la mise en place de ce genre de contrat repose sur une idéologie libérale selon laquelle le chômage est dû, d’une part à la mauvaise volonté des chômeurs – auxquels il faudrait, selon Sapin, « mettre le pied à l’étrier » (sic) – et, d’autre part, à un « coût du travail » trop élevé. Il s’agit donc encore une fois de précariser l’emploi des « bénéficiaires », dont l’« avenir » est suspendu à la reconduction d’un contrat le plus souvent annuel... et limité à 3 ans. Un dispositif qui est certes mieux que ce qui existe pour l’instant (Masterisation, non supprimée d’ailleurs), mais porteur aussi de belles promesses.

Sombres perspectives

Dans les faits, rien n’est vraiment prêt. Flottement du coté administration et renvoie à des négociations avec les organisations syndicales dans des groupes de travail ultérieurs. Seules infos réelles : le SMIC serait le revenu horaire de référence et le temps de travail hebdomadaire devrait être de 12 heures. Et contrat de droit privé. La possibilité d’un recrutement local n’est pas exclue non plus. Bref, implicitement cette mesure ouvre des portes que certains se sont empressés de laisser ouvertes.

l’UNSA au pied

Drôle de positionnement de l’UNSA au cours de ce CSE qui a tenté de faire retirer toutes les tentatives d’amendement proposés par les autres. Alors qu’il s’agissait de modifier le texte pour sortir le dispositif du cadre ultra précaire, les votes ont été révélateurs : certains ont voté contre (CFDT, UNSA SNALC, les futurs profs les remercient déjà), d’autres se sont abstenus (FO et FSU).
Bref, un beau dispositif de précarisation qui a été adopté avec un certain soutien syndical. On les remercie.


Emplois d’avenir professeur : une nouvelle filière de pré-recrutement ?

Fabienne Guimont, Educpros, 28 août 2012

Entre 2013 et 2015, 18 000 « emplois d’avenir » seront réservés à des étudiants qui se destinent à devenir enseignants. Le projet de loi sur les 150 000 emplois d’avenir prévus au total doit être présenté au conseil des ministres du 29 août 2012 avant d’être examiné par les parlementaires fin septembre. Une mesure d’urgence pour pallier les difficultés de recrutement sans être une véritable filière de pré-recrutement.

C’est l’une des annonces de rentrée de Vincent Peillon. Dès 2013, 6000 emplois d’avenir professeur seront proposés à des étudiants en deuxième année de licence, "sur critères sociaux". Les disciplines ou les académies connaissant des difficultés de recrutement seront prioritaires. Les étudiants venant des zones urbaines sensibles (ZUS) ou ayant fait leurs études secondaires dans des établissements relevant de zones d’éducation prioritaires sont ciblés en priorité par ce dispositif.

Avec les aides spécifiques liées au dispositif et leur bourse sur critères sociaux, les étudiants toucheront 900€ pendant trois ans maximum. Les contreparties à cette aide seront de « s’engager à suivre une formation initiale dans un établissement d’enseignement supérieur et à se présenter à un concours de recrutement des corps enseignants de l’Éducation nationale », précise le projet de loi. Des missions péri-éducatives voire des fonctions pédagogiques, évolutives au cours du temps du contrat, seront confiées aux étudiants dans un ou plusieurs établissements scolaires sur des temps partiels adaptables.

Un dispositif à préciser et à pérenniser

A priori favorable à ce dispositif, le SNPDEN, premier syndicat des proviseurs de l’Éducation nationale, souhaite que l’engagement des étudiants dans les établissements scolaires puisse être reconnu lorsqu’ils passeront le concours de recrutement des enseignants. Du côté des missions confiées, le syndicat précise qu’elles devraient s’assimiler davantage à du soutien et de l’accompagnement scolaires auprès des élèves, sans se limiter à de la surveillance.

Pour la présidente de la commission éducation et culture du Sénat, Marie-Christine Blandin, ce dispositif est une mesure pragmatique d’urgence, sociale et pédagogique, dans une situation difficile pour les finances publiques. Ces 6000 bourses restent, pour elle, une mesure transitoire mais pas une véritable filière de pré-recrutement pérenne comme le l’esquissait le dernier rapport sénatorial sur le métier enseignant. Ce rapport remettait les pré-recrutements en avant dès la licence pour faire face à la baisse du vivier de candidats aux concours.

Lire la suite ici


”Prérecrutements” : 18000 ”emplois d’avenir professeur”

Blogs Educpros, Claude Lelièvre, 24 août 2012

Le ministre de l’Éducation nationale Vincent Peillon a obtenu 18000 postes, soit 6000 créations chaque année de 2013 à 2015 ( c’est à dire 12% des 150000 ‘’emplois d’avenir’’ qui vont être créés au total ). Le projet de loi sera présenté en conseil des ministres le 29 août.

Cela répond d’abord à une promesse de campagne de François Hollande, en particulier lors de son discours de février dernier à Orléans sur « l’Ecole et la nation » : « Pour remédier à la crise de recrutement – qui est réelle tant les vocations ont été découragées […] nous ferons en sorte de financer des études longues, avec une filière de pré-recrutements, pour former des enseignants le plus vite possible, dès la licence, de façon à orienter les vocations et à aider les jeunes à financer leurs études ».

L’article 2 du projet de loi sur les « emplois d’avenir professeur » précise en effet que cela « est destiné en priorité aux jeunes effectuant leurs études dans les académies ou dans les disciplines connaissant des besoins particuliers de recrutement et résidant dans les zones urbaines sensibles […], ou ayant effectué tout ou partie de leurs études secondaires dans un établissement implanté dans ces zones ou relevant de l’éducation prioritaire ».
On sait en effet, pour ce qui concerne le concours de recrutement des professeurs des écoles ( cf mon billet du 3 janvier 2012 ), que la ‘’concurrence’’ entre candidats est assez variable d’une académie à une autre. On peut sommairement l’évaluer par le ratio existant entre le nombre de présents aux concours et le nombre de postes offerts. En moyenne, sur le plan national, ce ratio est de 5,4 pour les concours externes ( 37520 présents aux concours pour 7000 postes ). Ce ratio est beaucoup plus bas dans certaines académies : 2,7 en Guyane ( 269 présents pour 99 postes ) ; 3,2 à Créteil ( 2951 pour 912 ) ; 4,4 à Versailles ( 3488 pour 791 ) ; et même à Paris : 4,8 ( 794 présents pour 164 postes ). A l’inverse, il peut être beaucoup plus haut que la moyenne nationale de 5,4 dans d’autres académies : 6,7 à Toulouse ( 1482 présents pour 221 postes offerts ) ; 7 à La Réunion ( 844 pour 120 ), 7,1 à Lyon ( 1954 pour 277 ) et même 8,3 à Aix-Marseille ( 1609 présents pour 195 postes offerts )…

La suite ici


Le grand écart des emplois d’avenir, réservés aux jeunes sans diplôme comme aux futurs professeurs.

Le Monde, Maryline Baumard, 23 août 2012.

L’emploi d’avenir 2013 a deux visages. D’un côté, Michel Sapin, le ministre du travail, propose à des "sans-qualification ou peu qualifiés", résidant en zones urbaines sensibles (ZUS) et âgés de 16 à 25 ans, de postuler à l’un des 94 000 postes d’emplois-jeunes qu’il offre pour 2013 ou à l’un des 38 000 prévus pour 2014. De l’autre, Vincent Peillon, le ministre de l’éducation, présente à 6 000 étudiants inscrits en deuxième année de licence (L2) la possibilité de signer un "emploi d’avenir professeur" en 2013. Sous la même appellation se côtoieront donc des sans-diplôme et de futurs enseignants.

M. Sapin se serait bien passé de céder 18 000 emplois d’avenir en trois ans (12 % des 150 000 prévus) au ministre de l’éducation, qui, de son côté, n’avait pas envie de restaurer un vivier de futurs profs sur les fonds de son ministère. M. Peillon a eu gain de cause. Priorité éducative oblige, il a même obtenu de prérecruter ses futurs enseignants dès leur deuxième année d’études.

Ses 18 000 postes - dont le recrutement devrait commencer dès janvier 2013 - en trois ans, sur 2013-2015, seront répartis entre, d’une part, les académies où peu d’étudiants se présentent au concours de professeurs des écoles, et d’autre part, des étudiants de disciplines dans lesquelles la relève a du mal à se faire en collège et lycée. C’est le cas notamment en mathématiques et en physiques, mais aussi en langues anciennes.

Le projet de loi qui sera présenté en conseil des ministres le 29 août prévoit de proposer les emplois d’avenir professeur à des jeunes essentiellement boursiers [4] qui veulent passer le concours pour enseigner, mais qui pourraient être tentés d’arrêter leurs études faute de moyens.

Lire la suite là


« Emploi d’Avenir Professeur » - Le point de vue de SUD éducation

Le 10 août, le Ministère de l’Éducation Nationale a convoqué dans l’urgence une séance exceptionnelle du Conseil Supérieur de l’Éducation pour le 24 août 2012, spécialement consacrée au dispositif « Emploi d’Avenir Professeur ». Le gouvernement a en effet décidé que 6 000 « Emplois d’Avenir » seraient dévolus à ce qu’il présente comme un pré-recrutement d’étudiant-e-s voulant devenir enseignant-e-s. A partir du Projet de loi portant création des emplois d’avenir, dont l’article 2 porte sur les Emplois d’Avenir Professeur, et des annonces gouvernementales à la presse, SUD éducation propose une présentation avec une analyse critique et revendicative de ce dispositif.

- Voir également à ce sujet la déclaration, les amendements et l’explication de vote de SUD éducation au CSE du 24 août 2012, ainsi que le projet de loi gouvernemental.

Présenté, avec le « contrat de génération » comme un des deux actes de la politique du gouvernement en faveur de l’emploi des jeunes, l’Emploi d’Avenir est un nouveau contrat aidé précaire, très éloigné d’une véritable politique de lutte contre le chômage.

Le volet Emploi d’Avenir Professeur est certes plus avantageux que les dispositifs existants.

Mais pour SUD éducation il s’agit d’une réponse inadaptée aux dégâts de la mastérisation, à la « crise du recrutement » et aux besoins des étudiant-e-s :

- Il s’inscrit dans une logique libérale du « donnant-donnant », et non dans une dynamique de droits, en l’occurrence du droit aux études supérieures

- Il se limite aux seul-e-s étudiant-e-s se destinant au professorat et ne règle en rien la question de l’autonomie de l’ensemble de la jeunesse en formation ou privée d’emploi

- Il ne suffira pas à contrecarrer une baisse du nombre de candidat-e-s aux concours de l’enseignement liée aux politiques éducatives libérales et accentuée par la mastérisation

- Au lieu d’abroger la mastérisation du recrutement, le gouvernement cherche à corriger de manière très insuffisante certains effets de l’allongement des études.

PDF - 267.8 ko

"Emplois d’avenir professeur" Copie à revoir

CGT, 24 août 2012.
Ce vendredi 24 août 2012 le Conseil supérieur de l’Education (CSE) a été consulté sur un article du projet de loi sur les emplois d’avenir concernant le pré-recrutement de jeunes issus de milieux modestes souhaitant préparer des concours d’accès aux métiers de l’Enseignement.

La CGT regrette que le Gouvernement ait choisi la précipitation pour créer ces « emplois d’avenir professeur ».

Le manque évident de concertation avec l’ensemble des organisations syndicales les ont amenées à apporter de nombreuses critiques sur ce projet et à demander des clarifications sur sa mise en œuvre lors du CSE. La CGT considère donc que le sujet n’est pas clos et qu’il faut continuer la concertation.

Autant nous soutenons la proposition d’aider les jeunes issus de milieux modestes à accéder aux métiers de l’Enseignement en instaurant un pré-recrutement, autant, le projet, en l’état, les conditions sociales, le statut du contrat, l’organisation du temps de travail avec le temps d’étude, les conditions en cas d’échec ou d’abandon restent à clarifier. Une concertation est en cours concernant la formation des enseignants, la discussion doit se poursuivre dans ce cadre-là.

La CGT réaffirme qu’une formation initiale de haut niveau et une formation continue sont deux éléments essentiels et indissociables. La démocratisation du recrutement doit être au cœur du débat et intégrer une réflexion sur le recrutement des enseignants.


Déclaration de la FSU [5] lors du Conseil Supérieur de l’Education du vendredi 24 août 2012

La question des recrutements, qui pour la FSU ne se dissocie pas des politiques éducatives à conduire, est un sujet majeur. La loi d’orientation et de programmation devra établir un plan de recrutements sur plusieurs années afin de permettre de répondre aux besoins. Mais nous savons que paradoxalement, il ne sera pas forcément facile de trouver les candidats pour pourvoir tous ces postes. C’est pourquoi la FSU propose depuis longtemps de mettre en place un système de pré-recrutements d’étudiant-es se destinant aux métiers de l’éducation.

En proposant d’implanter des emplois sous forme de contrats d’avenir à Education nationale, le gouvernement reconnaît ainsi la réalité de la crise de recrutement et la nécessité d’élargir le vivier. Ce dispositif, tel qu’il est présenté aujourd’hui, est un système d’aide sociale qui peut contribuer à soutenir les étudiants et à démocratiser l’accès aux métiers de l’éducation. Il est en ce sens intéressant même s’il ne constitue pas un véritable système de pré-recrutement.
Notre proposition de pré-recrutements impliquait de mettre en place des contrats de droit public et non de droit privé, un statut d’élève professeur garantissant par exemple des droits à retraite et des conditions d’encadrement et de formation pour réussir le master et le concours.

Dans la situation actuelle, la FSU souhaite que le dispositif proposé attire des étudiants vers nos métiers de l’enseignement et notamment dans des disciplines déficitaires.

Pour cela, la FSU a des exigences et soulève quelques questions. Pour la FSU, le recrutement et le pilotage du dispositif contrat d’avenir professeur doivent être assurés par les rectorats et elle ne veut donc pas d’un recrutement par le chef d’établissement dans le souci de répondre à une égalité de traitement des étudiants et de leur formation. Elle demande que ces emplois ne soient pas utilisés sur des missions en responsabilité ni comme des moyens d’enseignement ou de remplacement (ce qui pourrait être tentant en période de crise…). Il faut assurer un lien étroit entre l’université, le lieu de formation et l’école ou l’établissement d’affectation de l’étudiant.
En l’état ce dispositif n’est pas satisfaisant car il n’est pas piloté par la formation. C’est pourquoi la FSU demande des garanties : accompagnement sur le terrain, obligation de formation, stages obligatoires, modules de formation obligatoires en plus du cursus universitaire classique notamment pour assurer un aller retour, une analyse entre travail de terrain et réflexion théorique…

Elle demande au Ministre de l’Éducation de répondre aux questions qui se posent : Comment se fera le recrutement ? Sur quels critères ? Que se passe-t-il pour les étudiants en cas de redoublement ? Quel tutorat pour ces étudiants ? Quelles garanties concernant leur rémunération ? Quel co-pilotage université/employeur ? Quel type d’activité demandé ? Quels horaires ? Comment sera assuré la liaison avec l’université pour que les étudiants concernés ne soient pas mis en danger dans leurs études ?

La FSU demande au Ministre, l’ouverture de négociation immédiate sur ce sujet. Il s’agit de discuter dès à présent avec les organisations syndicales afin d’offrir les meilleures conditions à ces étudiants pour poursuivre et réussir leurs études tout en découvrant les métiers de l’enseignement.


[1Ça fait tout de même 17h30… comment préparer un concours en travaillant 17h30 ? Note de SLU

[2Source, MEN

[3Nouvelle bourse + bourse "normale" (montant moyen 258€ mensuels) + x "heures de mission" = 900€. Combien d’heures de (quelle) mission ?

[4Note de SLU : pas essentiellement boursiers, exclusivement boursiers ("Il s’adresse
aux boursiers de l’enseignement supérieur relevant du titre II du livre VIII du code de
l’éducation" cf. projet en pdf ci-dessus)

[5Qui s’est abstenue lors du vote (Note de SLU)